S’impliquer
Devenir membre
Être membre de la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie, c’est :
- Un accès privilégié à toute l’information disponible en matière de condition féminine;
- La possibilité de participer à des rencontres, formations ou colloques à des tarifs préférentiels;
- Contribuer concrètement à l’avancement des conditions de vie des femmes de la région;
- Faire partie d’un réseau actif qui défend les droits des femmes!
Conditions
- Remplir la demande d’adhésion;
- Adhérer à la mission et aux objectifs de la TCMFM;
- En tant que groupe : être représenté par une femme;
- Respecter les statuts et règlements;
- Verser sa cotisation annuelle;
- Participer aux activités de la TCMFM.
Responsabilités
Les membres ont les responsabilités de fournir de l’information et de partager leurs opinions, afin que la TCMFM puisse faire progresser les échanges et les discussions et ainsi favoriser le lien d’appartenance, la cohésion et la vitalité du mouvement dans toute sa diversité.
Types d’adhésion
Membre régulière : un groupe de femmes incorporé en vertu de la Loi sur les Compagnies, géré majoritairement par des femmes, qui se définit comme un groupe féministe et qui démontre que ses actions visent principalement la promotion et l’amélioration des conditions de vie des femmes.
Membre affiliée : un groupe ou un comité dont la vocation ne correspond pas en tous points aux critères d’une membre régulière, mais qui travaille dans le domaine de la condition féminine et qui veille à la promotion ou à l’amélioration des conditions de vie des femmes.
Membre individuelle : une femme qui veille à la promotion ou à l’amélioration des conditions de vie des femmes et qui s’implique à l’intérieur de l’organisation.
Membre sympathisante : une femme ou un groupe qui adhère et sympathise aux luttes reliées au mouvement des femmes et qui appuie moralement l’organisation.
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Renouveler son adhésion à la TCMFM
Mobilisations
En tant que regroupement régional en défense collective des droits des femmes, la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM) mène une action politique, sans partisanerie. Elle agit pour que les gouvernements et les instances décisionnelles apportent des solutions concrètes améliorant les conditions de vie des femmes.
À cet effet, la TCMFM organise des mobilisations telles que des manifestations et des marches en soutien aux causes qui rassemblent le mouvement des femmes. Elle prend aussi part régulièrement à des actions en faveur des enjeux directement liés à sa mission, par exemple sous la forme de lettres d’appui ou de pétitions.
Prochaines mobilisations
Pétitions, campagnes et lettres d’appui
ÇA POURRAIT ALLER MIEUX !
La campagne : L’assurance-emploi doit nous protéger est menée par les regroupements d’organismes de défense des droits des chômeurs et chômeuses et les centrales syndicales québécoises. Ils font le constat que depuis trop longtemps ce programme a été l’objet de multiples mesures de compression qui en ont réduit la portée et affecte sa mission.
Nous invitons toutes les personnes partageant l’espoir et l’ambition d’un programme assurance-emploi plus protecteur de joindre leur voix.
Mise en place d’une rémunération et de conditions de travail pour les travailleuses en CPE comparables à celles accordées dans le secteur public
Date limite I 15 novembre
ATTENDU QUE le réseau des centres de la petite enfance (CPE) peine à garder les travailleuses en place et à en recruter de nouvelles;
ATTENDU QU’une importante pénurie de personnel fait rage actuellement dans les CPE;
ATTENDU QUE plusieurs postes sont vacants et que des groupes d’enfants n’ont aucune éducatrice attitrée en ce début d’année;
ATTENDU QUE les bris de services se font de plus en plus présents partout au Québec;
ATTENDU QUE la pénurie de personnel impose une surcharge de travail aux employées en place;
ATTENDU QUE, d’année en année, le déficit entre le nombre de diplômées et les besoins de main-d’œuvre du secteur se creuse davantage;
ATTENDU QU’un sérieux coup de barre est nécessaire afin de rendre les emplois en CPE attrayants;
ATTENDU QUE les revendications des travailleuses en CPE affiliées à la Confédération des syndicats nationaux représentent des solutions afin de freiner l’exode du personnel qui frappe durement les CPE;
Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’améliorer considérablement les conditions de travail dans le réseau des CPE notamment par la mise en place d’une rémunération des emplois comparable à celle accordée dans le secteur public.
Instauration d’un programme d’accès gratuit à la contraception
Date limite I 25 novembre
CONSIDÉRANT QUE 40% des grossesses sont non-planifiées au Canada, ce qui représente près de 200 000 grossesses non-planifiées chaque année;
CONSIDÉRANT QUE les grossesses non-planifiées entraînent des coûts importants pour les finances publiques et des conséquences pour le système de santé comme l’encombrement des services;
CONSIDÉRANT QUE l’utilisation d’un moyen de contraception de façon constante et adéquate est le meilleur moyen de prévenir les grossesses non-planifiées;
CONSIDÉRANT QUE chaque dollar investi en contraception peut faire économiser 90$ de dépenses publiques liées à la gestion des grossesses non-planifiées;
CONSIDÉRANT QUE le coût des moyens de contraception est la principale barrière à l’accès à la contraception au Québec;
CONSIDÉRANT QUE les femmes et personnes pouvant tomber enceintes sont souvent les seules à assumer les coûts des moyens de contraception tout en subissant les conséquences d’une grossesse non-planifiée;
CONSIDÉRANT QUE les moyens de contraception peuvent être utilisés comme soins de santé pour plusieurs conditions (endométriose, règles abondantes, douleurs menstruelles, etc.);
CONSIDÉRANT QUE la gratuité des moyens de contraception contribue à la réduction des inégalités entre les genres;
Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’instaurer un programme d’accès gratuit à toutes les méthodes de contraception disponibles au Québec, et ce, sans exception.
Accès à une couverture publique des soins de santé pour toutes les femmes enceintes vivant au Québec
Date limite I 18 novembre
CONSIDÉRANT QUE chaque année, des centaines de femmes vivant au Québec et contribuant à l’essor de la province par leur présence et leurs compétences sont exclues de la couverture RAMQ en raison de leur statut d’immigration précaire et accouchent sans avoir eu accès à des soins prénataux;
CONSIDÉRANT QUE le manque d’accès à des soins de base et l’absence de prise en charge adéquate des soins entourant la grossesse augmentent les risques de complications et portent atteinte à la santé et à la sécurité des mères et de leurs enfants;
CONSIDÉRANT QUE l’absence d’une solution concrète complique le travail du personnel soignant en créant des situations complexes et graves qui auraient pu être évitées et que le système de santé paiera plus tard en soins et en interventions, ce qu’il n’investit pas en prévention maintenant;
CONSIDÉRANT QUE depuis trois ans, les parties prenantes expertes sur le dossier s’entendent sur la nécessité de mettre en place un programme garantissant l’accès aux soins périnataux pour les femmes enceintes migrantes à statut précaire;
CONSIDÉRANT QUE le Plan d’action en périnatalité et petite enfance 2023-2028 du gouvernement du Québec et l’Organisation mondiale de la Santé affirment l’importance des soins prénataux pour la santé des femmes et des bébés à naître;
Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec une couverture publique des soins de santé durant la période périnatale pour toutes les femmes enceintes vivant au Québec, indépendamment de leur statut migratoire.
Rendre l’espace numérique sûr pour les femmes, les filles et les personnes LGBTI
Amnistie internationale a recensé un nombre incalculable d’attaques numériques contre des femmes, des filles et des militant·e·s LGBTI en Thaïlande, menées par des acteurs étatiques et non étatiques dans le but de réduire des personnes au silence et de les intimider. La violence fondée sur le genre facilitée par la technologie est en effet un problème mondial.
La violence en ligne peut prendre différentes formes, par exemple le partage non consenti d’images intimes, le harcèlement en ligne, la profération d’insultes misogynes, transphobes et homophobes, des menaces de violence physique et/ou sexuelle, la propagation de mensonges destinés à nuire à la réputation de la personne, la surveillance et le pistage, l’usurpation d’identité et le piratage, etc.
De telles attaques portent atteinte à la vie quotidienne des personnes. Dans de nombreux cas, les menaces en ligne peuvent aussi se concrétiser hors ligne, notamment par des agressions aussi bien verbales que physiques et par des arrestations et détentions arbitraires. Cela peut nuire gravement à la santé mentale et physique des personnes, à leur carrière, à leur vie sociale et à leur capacité de s’exprimer librement ou de mener des activités militantes.
Nous croyons en un avenir dans lequel les espaces en ligne peuvent être un véritable atout pour mener des actions positives, et offrir à chacun des espaces de liberté et de sécurité. Mais, pour faire de cette vision une réalité, nous avons besoin de votre aide.
Chaque jour qui passe, de nouvelles personnes sont réduites au silence et écartées du monde numérique en raison de la peur et de la violence qui y règnent. Il n’y a pas de temps à perdre.
Ensemble pour défendre les marches des fiertés en Turquie !
Cette pétition appelle le ministre de l’Intérieur turc à garantir que les personnes qui prendront part aux marches des fiertés ne feront l’objet d’aucune forme de menace, d’usage excessif de la force par la police, d’arrestations et de poursuites.
Depuis 2015 en Turquie, les événements de la Fierté sont systématiquement interdits, empêchant les militant·e·s LGBTI de défiler librement pour exprimer leurs préoccupations et revendiquer leurs droits. De plus, on assiste à une résurgence des discours discriminatoires et stigmatisants à l’égard des personnes LGBTI, notamment de la part des responsables politiques et de hauts représentant·e·s de l’État. Ces rhétoriques haineuses ont aggravé le préjudice subi et enhardi les groupes anti-LGBTI.
En 2023, les autorités turques avaient annoncé l’interdiction totale de nombreuses marches et d’autres événements publics, et même sans interdiction officielle, les rassemblements pacifiques ont été empêchés par la police qui a fait preuve d’une grande brutalité à l’encontre des participant·e·s et a procédé à des arrestations arbitraires.
Il est impératif que des mesures urgentes soient prises pour lutter contre l’homophobie et la transphobie institutionnelle.
Dépénalisez l’avortement au Maroc
Au Maroc, les femmes et les filles encourent des peines d’emprisonnement si elles tentent de mettre un terme à leur grossesse. L’avortement est érigé en infraction dans presque toutes les circonstances, même lorsque la grossesse est le résultat d’un viol. Les femmes et les filles enceintes sont contraintes de recourir à des avortements clandestins et non sécurisés, qui entrainent souvent des blessures, voire la mort.ns.
La criminalisation de l’avortement au Maroc a des conséquences dévastatrices pour les femmes et les filles, les forçant à recourir à des méthodes clandestines et dangereuses pour mettre un terme à leur grossesse, même lorsque celle-ci est le résultat d’un viol.
Dans un pays où les relations sexuelles en dehors du mariage sont interdites, ces femmes et ces filles s’exposent à une arrestation et des poursuites judiciaires si elles cherchent à obtenir un avortement illégal et sont donc souvent forcées de mener à terme la grossesse, ce qui les expose à des violences liées au genre, à l’exclusion et à la pauvreté, ainsi qu’aux conséquences douloureuses des tentatives d’avortement ratées.
Signez la pétition et appelez les autorités marocaines à dépénaliser pleinement l’avortement et à fournir des services d’avortement accessibles, sûrs et de bonne qualité à toute personne en ayant besoin et à respecter, protéger et réaliser le droit des femmes et des filles de prendre des décisions de manière autonome, libre et éclairée quant à leur santé sexuelle et reproductive et à leur vie.
Protégeons les droits des peuples autochtones en Équateur
Des négociations commerciales sont en cours entre le Canada et l’Équateur visant à accroître les investissements miniers canadiens, au milieu des protestations des communautés qui subissent déjà les effets négatifs des projets canadiens sur leurs droits et l’environnement.
Victimes d’attaques violentes et de répression, les peuples autochtones et les communautés rurales en Équateur subissent déjà des violations de leurs droits là où les entreprises canadiennes exercent leurs activités. Ceux et celles qui s’expriment pour le droit de chacun·e à un environnement propre, sain et durable, sont criminalisé·e·s en faisant l’objet de fausses accusations. Ces personnes ne sont aussi ni informées ni consultées au sujet de l’accord commercial, ce qui constitue une violation de la constitution équatorienne et des obligations des deux pays en vertu des traités internationaux tel que la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, ratifiée par le Canada en 2021.
Cet accord commercial comporte des risques énormes pour la population et l’environnement. Les droits humains ne doivent pas être sacrifiés dans les négociations commerciales en Équateur.
Envoyez un message à la ministre du commerce international, Mary Ng de respecter les obligations du Canada en matière de droits humains en Équateur !
Déclaration pour contrôler la recherche de profit et garantir le droit d’association
Le 24 mars dernier, une vaste coalition initiée par ATTAC-Québec, Mon OSBL n’est pas un lobby (dont est membre le RODCD), et par Vigilance OGM, a procédé au lancement de la déclaration « Lobby: Halte aux dérapages!« . Le lancement a été suivi d’une table ronde à laquelle ont participé Louise Harel, la juriste Lucie Lamarche et le journaliste André Noël.
Par cette déclaration, les membres de la coalition veulent agir notamment pour contrer une bonne fois pour toutes la volonté du commissaire au lobbyisme de revenir constamment à la charge afin d’inclure les organismes d’action communautaire autonome dans sa juridiction, bien que cette prétention ait été rejetée par le passé. La coalition demande également des modifications substantielles à la Loi sur la transparence et l’éthique en matière de lobbyisme.
C’est le temps pour l’assurance-médicaments maintenant !
Pour dire au gouvernement libéral qu’il est temps de respecter sa promesse d’offrir, à tous, l’égalité d’accès aux médicaments prescrits à coût abordable.
Faire officialiser à l’ONU la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie
Pétition auprès de l’Organisation des Nations Unies ainsi que les États membres:
Instaurer officiellement le 17 mai comme Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie en adoptant une résolution;
Inviter le Secrétaire général à agir immédiatement dans ce sens.
#StopLesCyberviolences – Quand les droits des femmes sont menacés, il faut se lever !
La campagne de sensibilisation #StopLesCyberviolences vise à changer les mentalités et à outiller les victimes et leurs proches.
Nous vous invitons à montrer votre appui aux revendications auprès du gouvernement pour qu’il prenne position et s’engager à contrer ce problème endémique en luttant contre l’impunité des agresseurs et en exigeant qu’il se tienne debout face aux GAFAM.
Campagne d’appui aux revendications du FRAPRU
Le FRAPRU mène une campagne d’appuis en faveur d’une politique d’habitation visant à développer massivement des nouveaux logements sociaux (sous forme de HLM, de coopératives et d’OSBL d’habitation), à reconnaître le droit au logement et à mieux protéger les locataires contre les abus du marché privé. Déjà, 290 organisations ont fait connaître leur appui. Nous vous invitons à appuyer cette demande et à le faire savoir en remplissant le formulaire ci-dessous.
Campagne d’appui pour une réforme du régime d’assurance-chômage
Le MASSE vous invite à apporter votre appui à la campagne » Une réforme c’est vital et c’est possible ». Joignez votre voix au MASSE en écrivant à la Ministre Carla Qualtrough.
Les revendications :
- Un régime d’assurance-chômage adapté à la réalité la réalité des travailleur.se.s de l’industrie saisonnière.
- Un régime d’assurance-chômage adapté à la réalité des travailleur.se.s à temps partiels.
- Un régime d’assurance-chômage adapté à la réalité des femmes sur le marché du travail.
- Un régime d’assurance-chômage qui ne fragilise pas davantage les travailleur.se.s à faibles salaires.